Oleron

Oleron se réveillait difficilement, les rayons du soleil qui passaient au travers des vitraux de sa chambre venient lui titiller la rétine. Après quelques grognements et jurons il décida de quitter sa paillasse et de se mettre sur pieds. Il posa les pieds sur les dalles froides du sol de l'abaye de Northshire, ce qui lui fit comprendre d'enfiler ses bottes au plus vite. Il retira ensuite sa veste de sommeil en lin. Comme tous les matins il resta un moment à fixer une étrange cicatrice sur son épaule gauche. La plaie devait être béante, celà ressemblait à une morsure mais une machoire de cette taille paraissait invraissemblable. Même les dagues les plus massives du continent n'aurai put infliger une telle blessure.

Oleron finit par enfiler le reste de sa tenue de paladin et pesta encore une fois on contact froid de la cote de maille sur sa peau. Le père Arthelus voulait le voir au plus tôt en cette matinée, il n'avait pas annoncé le sujet de cet entretien mais Oleron savait que cette discussion allait être importante. Cela faisant maintenant deux ans qu'Oleron avait rejoins l'abaye et le père Arthelus avait été son guide et aussi un confident qui avait accompagné le paladin dans sa douleur. A son arrivée Oleron n'était qu'un jeune paysan gravement blessé, il avait déjà une forte carrure mais rien ne le prédestinait à manier l'épée au nom de la lumière. Arthelus l'avait pris sous son aile et l'avais formé et accueilli dans ce lieu de culte au millieu de la foret d'elwynn. Le prêtre était un vieux bonhomme grisonnant, s'appuyant sur son baton à chaque pas, sa sagesse avait permis à Oleron d'accepter le triste sort dont il était victime. Le jeune homme savait que sont mentor était en fin de vie, sur le déclin, il pensait bien que cette balade à l'ombre des grands arbres de la forêt serait une des dernières. Il ne croyait pas si bien dire...

"...Tu le sais bien...Tu ne m'en dis pas mot mais je sais que tu le sais...Tu n'es pas aveugle et mon état de santé empire de jour en jour", le vieil homme marqua une pause et continua,"...mais toi tu fais comme si de rien n'était! Tu ne veux pas voir les choses en face, mais je vais partir Oleron! Je sais que tu dois retenir tes émotions tu en as le devoir...mais il faudra un jour que tu reprennes en main ton destin! Nous en avons déjà parlé... il te faut agir! Tu as maintenant la force et l'esprit...à toi d'aller de l'avant et ..."
" Mon père..." lanca Oleron, le regard fixé sur ses bottes étincelantes"...Je ne me sens pas prêt, pas encore. Les gens on besoin de moi par ici et je..."
"Arrêtes!" rétorqua le barbu " Je t'ai soutenu, je t'ai soigné, je t'ai renseigné... tu sais ce que tu dois faire! Vas maintenant!"
Oleron tomba à genoux aggripant à pleine main la robe du vieux barbu.
"Je ne peux pas vous quittez, vous êtes un père pour moi, toute la famille qui me reste..."
"Oleron tu sais tres bien que tu ne peux p...." dit le vieil homme l'air paniqué.
" Pardon...mon père" bafouilla le paladin

Soudain, une ombre gigantesque passa au dessus des deux hommes, le souffle de son passage décoiffa les deux hommes. Une douleur infernale au niveau de sa blessure fixa le paladin à genoux, gemissant. L'ombre passa une seconde fois au dessus des deux hommes de lumière, l'un à terre, l'autre pétrifié par la peur. Puis soudain l'ombre géante, attérit et replia ses ailes. Le dragon de couleur vive qui venait de leur faire face était de taille gigantesque, il aurait pu détruire l'abayye toute entière en un souflle. Mais il n'était pas là pour ca, les deux compères le savait. Oleron ne pouvait pas bouger mais il lut dans les yeux jaunes de la bête le même message qu'il y a deux ans. Puis, en une fraction de seconde, le dragon fondit sur le couple et happa le vieil homme et disparut aussi vite qu'il était apparu. La douleur s'estompa lentement mais Oleron gardait les dents sérées, la rage l'habitait, c'était la seconde fois...

"Ce sera la dernière! En route!" marmona le paladin les yeux gorgés de sang.

Oleron ramassa l'anulette du prêtre qui était tombée à terre puis prit la route...

(TO BE CONTINUED)

Cela faisait maintenant plusieurs mois que la tragedie de l’abbaye s’etait deroulée. Pendant des semaines, Oleron avait erré dans les rues de la capitale humaine, se reprochant ses actes et ses emotions. Arthelus lui avait pourtant tout appris, l’origine de son mal, comment le contrôler et surtout comment l’accepter. Cependant les évemments finissaient toujours par le rattraper et le paladin se torurait l’esprit avec les images du passé. Il avait survecu à l’attaque d’un dragon sur son petit village, un enorme dragon qui avait massacre sa famille devant ses yeux.

Cette vision d’horreur de sa femme et de sa petite fille devorées parl’ignoble bête revenait souvent hanter le paladin. Plus que la douleur de cette vision, c’etait le sentiment d’impuissance que décrivait ces images qui accablait Oleron. Il était là, immobile, cloué au sol par sa blessure, dans l’impossibilité de se déplacer. Quelquessecondes auparavant il s’était interposé entre sa famille et le dragon, à l’aide d’un ridicule bâton de bois. La bête ailée happa l’homme d’un rapide mouvement entre ses dents et c’est là que survint le miracle, si on peut l’appeler ainsi. La dentition des dragons est connue pour etre la plus redoutable etla plus solide de notre monde. Cependant, pour on ne sait quelle raison, au moment ou le dragon tenta de broyer sa proie, une des dents de la bête se brisa, précipitant alors Oleron vers le sol. La chute ne suffit pas à assomer le brave paysan et, à bout de force, celui tenta de se relever pour secourir sa famille. Mais Oleron ne pouvais plus bouger, la dent de la bete qui avait transpercé son épaule s’etait enfoncée en terre et maintenait donc l’homme sur le ventre.

Le cri des deux femmes voyant Oleron chuter lourdement attira l’attention de la bête.Le dragon décida alors de laisser un plat de resistance pour deux hors d’oeuvre. Impuissant, Oleron vit fondre le draconnien sur ses proies gemissantes. Extenué et choqué, le futur paladin perdit connaissance alors que les renforts du village arrivait maintenant à la ferme. Mais il était trop tard, des lambeaux de tissus tachés de sang étaient dispersés devant l’entrée de la chaumière. Oleron venaient de perde les êtres qu’il cherissait, sa vit venait de basculer dans la douleur et la solitude...et ce n’etait que le début.

La légende avait fait le tour de la contrée, Oleron l’homme qui survit aux dragons! L’homme ébrise détestait cette histoire, son histoire, elle avait été déformée maintes et maintes fois. Et peu de personnes doivent connaître les vrais faits. Le paysan avait déja payé le prix de sa celebrité mais il ne savait pas encore que toute sa vie cet evenemen tle poursuivrait. Le jeune homme avait decide de partir. Il ne pouvait pas rester en ces lieux qui lui rappelait tant de souvenirs, qui le torturait tout les jours. Sa vie etait marqéee à jamais mais Oleron pensait pouvoir refaire sa vie, être aimé et aimer comme il l’avait fait autre fois. Il avait réussi à refaire sa vie dans un village à plusieurs semaines de marche de son ancien lieu de vie. Il avait bâti lui meme sa maison et travaillait dur au champs...pour oublier. Une femme, une seule, arrivait a le faire sortir de sa torpeur. Elenia tournait autour du rouquin depuis un certain temps déjà mais il refusait toujours de céder à ses avances déguisées. Mais petit à petit les deux se firent plus complicse et se rapprochèrent.

Un soir en rentrant de la taverne du village Oleron avoua sa flamme a Elenia. Il se sentit enfin soulagé et il se sentait heureux, un sentiment très lointain pour lui. La jeune femme agréablement surprise etreignit le paysan dans ses bras fins. Mais ce moment de joie fut de courte duree...Tout à coup, Oleron tomba à genoux, pétrifié par une douleur à l’epaule. Meurtris par la douleur, il ne parvenait à peine à s’exprimer. Elenia pris les devants et découvrit l’epaule du malade. La large cicatrice de la dent de dragon s’était remise a saigner et un filet de fumée jaunâtre semblait s’en echapper. Puis un mouvement dans le ciel sombre effraya la femme, un claquement d’aile bien singulier trahis la presence de l’animal légendaire. Elenia morte de peur, ne put reculer que de quelques pas avant que ses jambes ne la trahissent.Elle s’effondra à terre en regardant le dragon s’avancer vers elle. La nuit etait si sombre que l’on ne pouvait distinguer que les deux globes jaunes des yeux de la bête. La scène était étrange, les deux êtres minuscules à la mercie du prédateur, ne pouvant même pas s’enfuir. La bête s’approchait lentement d’Oleron mais n’y pretta pas attention, elle continua son chemin jusqu’a la femme et n’en fit qu’une bouchée. Les larmes de rage coulaient sur le visage du futur paladin une fois de plus impuissant devant cette scène. Mais cette fois ci le dragon jetta un regard a Oleron avant de s’envoler, un regard au travers de cette pupille feline, pesant et lourd de sens.

Ce sens Oleron le compris bien plus tard grâce au père Arthelus. Il avait été receuillis par l’église, à l’abbaye de Northsire. Le rouquin était devenu presque fou et c’est l’oreille attentive d’un viel homme qui le sauva de la démence. Oleron avait mis du temps avant de se confier au prêtre mais après quelques jours de recherche l’erudit revint avec des reponses à cette tragédie. Comme il le pensait, Oleron etait bel et bien maudit, mais ce qu’il apprit ce jour la l’enfonca encore plus dans son mutisme....Il avait survecut à l’assaut d’un dragon, aucun des deux combatants n’etait mort lors de se combat. Il etait donc toujours liés par ce combat inachevé. En survivant, Oleron avait volé au dragon ce qu’il avait de plus cher : sa suprématie. En retour,ce dragon enleverai à Oleron ce qu’il avait de plus cher : les êtres qu’il aimait. Le lien ne sera brisé qu’a l’issu d’un combat final entre l’homme et le dragon mais la fierté du dragon l’empechait de combattre un homme faible. Un combat equitable devait avoir lieu, le dragon attendrai et Oleron devrai se préparer.

L’ancien paysan avait bu les explications du vieil homme et avait decider de se battre et de prendre un jour sa revanche. Oleron était maintenant un paladin droit, bon et puissant mais pas assez encore pour accomplir sa destinée. Le paladin savit tres bien que le combat serait difficile et la mort d’Arthelus le comfirma encore ; Il aurait besoin de compagnon d’armes. Il décida alors de partir vers la capitale pour aider son prochain et prendre en main son destin...

Très très bon background, j'ai adoré. Voilà qui me motive à etoffer le mien.
J'aime beaucoup

(si jamais tu décides de continuer l'histoire, j'effacerai cette remarque ^^)

Merci pour cette appréciation, ca fait chaud au coeur . Oui! il y aura a bien une suite à celà mais ce n'est pas la peine d'enlever des commentaires gromgoth, ça me motive de d'avoir un retour sur ce que je raconte. Et puis si je voulais être tranquille et pas coupé j'écrirai un livre!
Alors n'hésitez pas à laisser vos avis...même les plus critiques!

Oui franchement bravo !

Un moment de réflexion…

S’en était finit des jours heureux. Oleron broyait du noir, son épée se faisait moins tranchante et son bouclier fétiche plus lourd que jamais. Pourtant le beau paladin pensait avoir pris la bonne voie...

Cela faisait maintenant un certain temps qu’il avait rejoint un groupe de personnes fortes d’esprit mais fortement sympathiques. Oleron se rappelle souvent la rencontre avec l’oracle prénommé Gromgoth, le nain barbu plongé dans son grimmoire et le paladin plongé dans sa bière. La rencontre fut fortuite et c’est donc ce merveilleux breuvage qui reunit les deux compères. Après être retourné au comptoir chercher une nouvelle chopine, le paladin perdit l’equilibre et trébucha sur la table du nain, innondant alors le vieux grimmoire avec le précieux liquide. Le nain grommela alors des mots qui par chance s’etouffèrent dans la masse de poils blancs de sa barbe. Le pauvre paladin ne pouvait que comtempler le désastre mais essaya de se faire pardonner en essuyant le précieux livre avec un morceau de toile de son plastron. Malheuresement, le tissu déjà imbibé d’alcool ne fit qu’empirer les choses et le manuscit ressemblait plus à la serpillière de la patronne qu’aux ouvrages de la bibliothèque de la ville.

« Mais regardez un peu ce que vous faites ! Faites un peu attention ! », dit Gromgoth qui récupéra son objet en froncant les sourcils, « Regardez ça ! Il y a autant de bière là dedans que dans un petit tonneau ! »
« Pa..Pardon, z...ze suis désolé Mossieur le nain mais... »
« Non laissez...retourner donc à votre..... » le nain stoppa net sa phrase. Son regard avait une toute autre allure, il avait maintenant les yeux écarquillés en face de son livre, prit de stupeur.

Gromgoth voyait une belle écriture ambrée, sûrement due à la bière, remplir petit a petit les pages presques rendues transparente par l’alcool. Le nain se concentra et lut un passage à voix basse puis s’écria :
« C’est incroyable,vous avez change le contenu de mon grimmoire ! je peux lire votre histoire, votre passé, votre vie, vous... »
« He....Ho...ch’ui un peu fatigué là, mais faudrait pas m’prendre pour un kobold non plus ! » dit Oleron en coupant la parole au sage « Je vous ai jamais vu vous et votre frère jumeaux la!...d’ailleurs arrêtez de faire les mêmes mouvements en même temps c’est inzuportab’ ! je vous dit... »

Gromgoth repris la parole et commenca un long discours retraçant la vie du paladin dans ses grandes lignes en lisant les pages de son grimmoire. Le paladin s’assis lentement à côté du vieux nain, laissant sa chopine de côté pour mieux boire les paroles de l’oracle. Oleron voulut regarder à son tour l’ouvrage mais ne vit que de simples pages vierges. Il laissa donc continuer Gromgoth qui appris donc à connaitre, malgré lui, la vie du paladin. Mais bien plus que cela, il lui dicta son avenir, son rôle dans une certaine prophétie, un groupe de personnes d’horizons differents et de buts differents, mais qui finalement iraient dans le meme sens. Oleron s’enmélait les quelques neurones qui etaient encore actif en cette soirée. Il questionna alors le vieux prêtre sur cette soi-disant prophétie et en appris donc plus sur ce grimmoire.

Par la suite Gromgoth continua sa lecture mais les lettres orangées se firent de plus en plus fades, elles disparaissaient au fur et a mesure du temps jusqu’a totalement disparaître. Il tourna ensuite la tête et s’aperçu que le paladin venait de s’endormir à ses côtés, affalé sur la table dans la flaque de bière qu’il avait accidentelement créé. Le nain referma son livre et s’en alla, juste apres avoir vérifié qu’Oleron était bien en équilibre sur sa table afin d’éviter une chute qui aurait pu lui coûter une belle bosse le lendemain.

Apres cette rencontre assez spéciale et une journée de réflexion chaotique entrecoupée de maux de tête bien mérités, Oleron décida de rejoindre la guilde Prophecy. Il y rencontra de grandes personnes certaines par la taille mais toutes par l’esprit. Du grand Amhras à la petite Séa, tous avaient une conviction, une ambition et du talent dans leur domaine. Oleron ne savait pas ce qui les reliait à la prophétie et il ne voulait pas le savoir. L’ambiance au sein du groupe etait très joviale et il ne voulait amener ses problèmes au milieu de la place publique, il pensait que ses acolytes en feraient de même.

Oleron avait fait beaucoup de chemin en compagnie de cses compagnons, de grands combats et avait beaucoup progressé. Il se sentait vraiment plus fort, il avait à la fois découvert de nouvelles competences de soldat de la lumière et s’était créé un attirail redoutable avec les pièces d’or qu’il avait amassé lors de ses missions. Mais aujourd’hui il était sur la mauvaise pente. Il avait tenté en vain de combattre un dragon corpulent dans les terres ingrates, et il ne s’était pas sortis indemne du combat, il avait même du prendre la fuite. Dans la bataille il avait perdu trois doigts, calcinés par le souffle brûlant de la bête. Il ne lui restait donc que l’index et le pouce à la main gauche. Oleron se remettait lentement de cette blessure mais c’etait son esprit qui avait subit le plus de dégâts. Il revoyait les images de la bête géante qui avait pris la vie des êtres qu’il aimait. La bête qu’il avait éssayé de vaincre était au moins dix flois plus petite, dix fois moins puissante, mais l’avait poussé à prendre la fuite. Oleron doutait. Il n’etait pas encore prêt, il en était sur. Mais ou allait-il ? Pourtant c’etait écrit, l’oracle Gromgoth l’a dit, la prophétie doit passer par la mort du souffle brûlant d’azeroth. Mais est ce qu’un ancien paysan de la comptée d’Oler devait participer à ce combat. Peut être cette voie était elle sans issue pour lui ? Tant de questions sans réponse qui tourmentaient le paladin handicapé.

Au détour d’une rue de la cité humaine Oleron tomba nez à nez avec un moine qu’il avait connu à l’abbaye de Northshire. Il lui expliqua la situation, sa vie depuis son départ. Après un long silence réfléchit, le moine proposa au paladin de revenir passer un moment de reflexion à l’abbaye. Il lui rappela que c’était là bas que le paysan d’autrefois avait trouvé des réponses et choisit sa voie. Il s’était décidé, le moine Gregor avait raison, un moment de réflexion était nécessaire. Le grand roux remercia alors Gregor et alla ensuite à la rencontre de Gromgoth pour lui expliquer ses désirs. Oleron ne savait pas quand il serait de retour et ne pouvait s’engager aupres du nain sur une date quelconque. Cependant il certifia que son esprit serait toujours aux côtés des membres de la guilde. Les deux hommes se comprirent et Oleron pris la route en chemin inverse, cette route qui l’avait amené à ce qu’il était aujourd’hui et ce qu’il ne sera peut être plus demain...

[HRP]
Ceci est une petite interlude pour introduire mon absence pendant 1 mois à peu près je pense. Je dois me forcer a ne plus jouer. Beaucoup de boulot au travail et des études en parallèle...Difficile à gérer les deux à al fois. Mais dans un mois je devrais être de retour tout frais et Oleron aura retrouvé sa voie!
Bon, j'ai aussi imaginé la rencontre que j'aurais pu avoir avec Gromgoth. Grom, Je m'excuse d'avoir fait parler ton personnage sans ton accord. J'espère ne pas avoir déformé ton personnage dans mon récit.

Donc bye bye à tous et amusez vous bien. Je me connecterai peut être de temps en temps, mais celà risque d'être rare...
[/HRP]

Pas de soucis, l'ami, c'est parfait, l'idée d'avoir renversé la bière sur le Grimoire est très bien je trouve Juste un conseil, ne perd pas trop de doigts, car après pour lever la chopine c'est pas simple surtout si elle est lourde...

Sinon, ben à dans un mois alors. Je pense que tu as raison de te consacrer en premier lieu é l'irl et de mettre un temps de côté WoW. Bon courage et reviens nous vite !!!